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Mon essai Les enfants Renan précède Ma sœur Henriette, mémorial intime d'Ernest Renan et hommage à celle qui a trimé dur, loin de Tréguier, pour payer les études de son petit frère. Ma sorte de conséquente préface encadre en amont le texte de Renan suivi par un choix de lettres. * Au marché aux puces de Montreuil j’ai trouvé une vielle édition de textes épars d’Ernest Renan. La couverture manque, des pages sont arrachées… Le marchand est prêt à me le donner. M’intéressent tout de suite des lettres de Renan à sa sœur. Egalement un bout de texte plein d’éloge et de chagrin dont je trouverai le morceau manquant à Tréguier, au musée-maison de Renan. Je compléterai ma documentation en fouillant chez Paternotte, fabuleux bouquiniste du bas de la rue, perché dans une maison corsaire archi humide remplie de trésors. On s’y rend avec une lampe torche, les étages ne sont pas éclairés. Je propose la réédition du Renan intime et méconnu, précédé de mon essai, à Florent Patron qui dirige alors l’éditorial de la coopérative Coop Breizh. Il lance une collection de classiques de Bretagne revisités -SeizhAvel -Les Sept Vents. Un Renan intime et méconnu, ça lui va. Trente feuillets lui paraissent parfaits. Avec la troisième partie du livre, formée du choix de lettres d’Henriette à son petit frère, le tout du livre se complète et se fait écho. PRESSE |